Interviews - 11 novembre 2013 - 0
Entrepreneur dans l’âme, Olivier est de ceux dont on se souvient. Chef d’entreprise à 20 ans, il fait partie aujourd’hui des traiteurs les ...
Après des études en cuisine, je me suis mis à mon compte dès ma sortie de l’école à l’âge de 20 ans. Le Romarin Vert lui a été créé en 2006.Nous avons donc aujourd’hui plus de 20 années d’expérience dans le domaine de la réception et du traiteur.
Il importe de distinguer deux entités : les menus Le Romarin Vert et les menus Luxuriance.
Le Romarin Vert offre une cuisine semi-gastronomique revisitée aux influences principalement méditerranéennes mais aussi de type « fusion ». Pour exemple, en cocktail nous pouvons servir tout aussi bien des Makis California Tomates séchées et Poivrons Grillés que de la tapenade ou des verrines Gambas Mangue et Mascarpone. La carte est d’ailleurs actualisée chaque semaine puisque nous n’hésitons pas à intégrer des nouveautés sur cette fréquence.
La gamme Luxuriance elle a été crée avec Maxime Taupinard, jeune chef de 25 ans grand passionné et créateur dans l’âme. Elle propose une cuisine gastronomique. Celle-ci demande une mise en œuvre conséquente avec notamment des produits délicats à cuisiner. La composition du menu varie selon les clients, il leur est possible de nous demander ce qu’ils veulent, tout peut être fait sur commande. Nous avons aussi la chance de travailler depuis une quinzaine d’années pour la partie sucrée avec Marc Favalessa, maitre pâtissier connu et reconnu dans la région.
Un facteur commun subsiste entre les deux, nous n’utilisons que des produits frais et de saison.
Il faut avant toute chose déterminer le besoin afin de cibler des critères de recherche pertinents. Ensuite nous appeler ! Il est important d’avoir un premier contact téléphonique, l’e-mail étant vraiment trop « froid », il ne nous permet pas d’expliquer notre façon de travailler, les recettes ou encore les variations existantes. Selon nous il est impossible de comparer vraiment des traiteurs sur la seule base de devis chiffrés. D’autant moins qu’il y a souvent des astérisques ou des ajouts, il faut savoir lire entre les lignes.
« On n’achète pas un tarif mais un produit, un savoir faire », pensez-y ….
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